Non à la révision de la loi de 1905 !
La FSU 48 et la FCPE 48 ont souhaité informer les parents et plus largement ceux qui désiraient comprendre les enjeux cachés de ces réformes.
La FSU 48 et la FCPE 48 ont souhaité informer les parents et plus largement ceux qui désiraient comprendre les enjeux cachés de ces réformes.
Le gouvernement n’a pas pris la mesure du malaise qui s’exprime dans la Fonction publique et des difficultés en termes de pouvoir d’achat.
Alors que la Fonction publique compte 20% d'agent-es non titulaires souvent faiblement rémunéré-es, plus de 40% d'agent-es de catégorie C et plus de 75% dans la fonction publique territoriale dont les salaires de début de carrière sont proches du SMIC, aucune négociation ni discussion n'est, à ce jour, prévue dans la Fonction publique.
Le 14 décembre mobilisons nous ! Pour nos salaires et notre pouvoir d’achat Pour nos Services Publics et notre Sécu Contre le chômage et la Précarité Rassemblement à Mende, place du foirail à 15h
La FSU exprime sa vive émotion après les violences commises à l’égard des jeunes, notamment suites aux événements de Mantes la Jolie. Elle condamne ces violences. Le gouvernement ne peut pas traiter ainsi la jeunesse : gardes à vue, déferrements devant la justice des mineurs... La FSU exige que ces jeunes ne soient pas poursuivis dans le cadre de procédures abusives et demande la levée des gardes à vue.
Inquiétudes face à l’avenir, poids des inégalités sociales sur les parcours de formation, dégradation des conditions de scolarisation… de nombreux jeunes se mobilisent pour dénoncer les réformes en cours dans les lycées et contre le dispositif « parcours sup » qui organise une sélection à l’entrée à l’université.
La crise sociale qui gagne le pays trouve son origine dans les politiques libérales aujourd’hui à l’œuvre et dans la volonté de remettre en cause notre modèle social. Contraint par l’ampleur de la contestation, le gouvernement a décidé de reporter un certain nombre de mesures et d’ouvrir des discussions sur tout le territoire. Ces annonces arrivent très tardivement dans une situation extrêmement tendue. En voulant maintenir son cap, le gouvernement ne semble pas prendre la mesure de la colère qui s’exprime face aux injustices sociales. Il ne répond ni aux inquiétudes ni aux revendications particulièrement en ce qui concerne le pouvoir d’achat.
Régulièrement, sur l’ensemble du territoire, nous avons multiplié les initiatives pour mobiliser nos forces, former nos équipes en lien avec la jeunesse, les salarié·e·s, précaires, retraité·e·s, mesurer in situ les effets des politiques d’extrême droite sur la population (austérité, attaques des services publics et du milieu associatif, stratégie d’intimidations…).
En dépit d’ambiguïtés, une partie de la population est mobilisée pour exprimer un réel problème de pouvoir d’achat mais aussi des sujets d’inquiétude qui témoignent d’une angoisse réelle pour l’avenir. La FSU estime que le gouvernement doit en prendre la mesure en y apportant les réponses sociales nécessaires.
Le 20 novembre est le jour anniversaire de l’adoption par l’Assemblée de la Déclaration des droits de l’enfant en 1959 et de la Convention internationale des droits de l’enfant de 1989. Autant de principes, non-discrimination, intérêt supérieur de l'enfant, respect des opinions de l'enfant… que de droits à la Santé, l’éducation, la protection…, sont établis. Mais aujourd’hui encore, trop souvent est bafoué le principe, que nous pourrions croire acquis [...]