Alors que les dernières réformes des retraites ont entraîné beaucoup d’injustices et d’inégalités, notamment entre les femmes et les hommes, que nombre de questions n’ont jamais été réglées depuis, Jean Paul Delevoye a présenté aujourd’hui devant le Conseil Commun de la Fonction Publique son rapport Pour un système universel de retraite.
Ce projet de réforme suscite d’ores et déjà beaucoup d’inquiétudes dans la Fonction publique où il s’ajoute à une politique salariale inexistante et à la mise en œuvre de la loi de transformation de la fonction publique remettant notamment en cause les instances de dialogue social.
Du fait d’un nouveau réexamen de l’âge de départ à la retraite, d’un nouveau calcul du montant des pensions dont, de l’aveu même du gouvernement, il dégradera le niveau des pensions pour nombre d’agent·es, les craintes sont fortes.
La FSU a déjà alerté le Haut-Commissariat à la Réforme des Retraites lors des concertations sur un système individuel à points qui rend très aléatoire le montant des pensions mais aussi sur la baisse du niveau des pensions que produirait la mise en œuvre d’une telle réforme dans la Fonction publique. En renonçant au calcul des pensions sur les 6 derniers mois et en intégrant les primes qui sont très inégales voire inexistantes pour certains agent·es, nombre d’entre eux verront leurs pensions diminuer. C’est d’ailleurs pour cette raison que le gouvernement est amené à ouvrir des discussions au Ministère de l’Education nationale. Si la FSU s’en félicite, elle alerte sur le fait que bien d’autres agent·es sont concerné·es (enseignant·es chercheurs, agent·es de catégorie C….).
Ainsi, la question de la revalorisation des salaires et de l’amélioration des déroulements de carrière dans la Fonction publique apparaissent une nouvelle fois au grand jour avec ce projet de réforme. Pour la FSU, des discussions salariales doivent s’ouvrir pour toutes et tous les agent·es y compris en dehors de ce projet de réforme des retraites.
Pour la FSU, la retraite est une nouvelle étape de la vie qui nécessite que chacun et chacune aient les moyens de la vivre dignement. Organiser un système solidaire, pérenne et en garantir le financement est un enjeu de société majeur. C’est ce que défendra la FSU avec les agent·es de la Fonction publique mais aussi avec l’ensemble des salarié·es, des jeunes et des privées d’emploi.
Ce projet de réforme suscite d’ores et déjà beaucoup d’inquiétudes dans la Fonction publique où il s’ajoute à une politique salariale inexistante et à la mise en œuvre de la loi de transformation de la fonction publique remettant notamment en cause les instances de dialogue social.
Du fait d’un nouveau réexamen de l’âge de départ à la retraite, d’un nouveau calcul du montant des pensions dont, de l’aveu même du gouvernement, il dégradera le niveau des pensions pour nombre d’agent·es, les craintes sont fortes.
La FSU a déjà alerté le Haut-Commissariat à la Réforme des Retraites lors des concertations sur un système individuel à points qui rend très aléatoire le montant des pensions mais aussi sur la baisse du niveau des pensions que produirait la mise en œuvre d’une telle réforme dans la Fonction publique. En renonçant au calcul des pensions sur les 6 derniers mois et en intégrant les primes qui sont très inégales voire inexistantes pour certains agent·es, nombre d’entre eux verront leurs pensions diminuer. C’est d’ailleurs pour cette raison que le gouvernement est amené à ouvrir des discussions au Ministère de l’Education nationale. Si la FSU s’en félicite, elle alerte sur le fait que bien d’autres agent·es sont concerné·es (enseignant·es chercheurs, agent·es de catégorie C….).
Ainsi, la question de la revalorisation des salaires et de l’amélioration des déroulements de carrière dans la Fonction publique apparaissent une nouvelle fois au grand jour avec ce projet de réforme. Pour la FSU, des discussions salariales doivent s’ouvrir pour toutes et tous les agent·es y compris en dehors de ce projet de réforme des retraites.
Pour la FSU, la retraite est une nouvelle étape de la vie qui nécessite que chacun et chacune aient les moyens de la vivre dignement. Organiser un système solidaire, pérenne et en garantir le financement est un enjeu de société majeur. C’est ce que défendra la FSU avec les agent·es de la Fonction publique mais aussi avec l’ensemble des salarié·es, des jeunes et des privées d’emploi.
Les Lilas, le 03 octobre 2019.