Projet de loi Fonction publique
La FSU a décidé, avec 6 autres fédérations de fonctionnaires, de quitter la séance du Conseil commun de la Fonction publique.
La FSU a décidé, avec 6 autres fédérations de fonctionnaires, de quitter la séance du Conseil commun de la Fonction publique.
La loi Blanquer dite de « l'école de la confiance » qui avait pour but essentiel d'abaisser l'âge de la scolarisation obligatoire à 3 ans est devenue un véritable fourre-tout au service du projet idéologique du gouvernement
Constatant que le déficit devrait s’établir cette année à 3,2% du PIB, repassant au-dessus des 3% exigés par Bruxelles, la Cour des comptes appelle, une nouvelle fois et sans surprise, à de nouvelles économies et particulièrement à réduire les dépenses de l’État.
Le gouvernement a décidé de reprendre à son compte la proposition de loi de Bruno Retailleau adoptée au Sénat le 23 octobre 2018 visant à « prévenir les violences lors des manifestations et à sanctionner leurs auteurs ». Alors que la France dispose d’un arsenal législatif déjà des plus répressifs, ces nouvelles mesures si elles étaient votées porteraient gravement atteinte aux libertés publiques de toutes et tous.
Les organisations syndicales CGC, CFDT, CFTC, CGT, FA FP, FSU, Solidaires, UNSA représentatives de plus de 5 millions d’agent-es, s’inquiètent de l’avenir promis à la Fonction publique par le gouvernement et lui demandent d’entendre leurs revendications.
Pour la FSU, il est indispensable de penser la carte scolaire en créant les postes nécessaires aux besoins nouveaux de la population, et non en cherchant où l’on va pouvoir récupérer des postes afin de répondre à la commande ministérielle
A l’occasion de sa venue dans le département de la Lozère, ce 5 février 2019, les représentants syndicaux de la DDT et de la DDCSPP, réunis en intersyndicale ont rencontré le ministre de l'Agriculture, Didier GUILLAUME. Ils lui ont fait part de leurs vives inquiétudes quant au devenir des services territoriaux de l’État dans le département.
Le ministre de l'Éducation nationale a annoncé devant la Commission des Affaires culturelles et de l'Éducation de l'Assemblée nationale qu'il y aurait un maintien de tous les rectorats et de tous les recteurs.
Depuis de trop nombreuses mobilisations, il est question de violences et de violences policières.
Le Grand débat national lancé par le gouvernement ne devra pas servir d’alibi pour poursuivre sa politique libérale.